BANDES-ANNONCES 2024

UN

SEMAINE PAR SEMAINE

Tour de Bandes Annonces

1er JANVIER 2025

Six jours, de Juan Carlos Medina


« C’est la vie, on avance tous avec nos cicatrices, même si elles ne sont pas aussi visibles que celles de cette Dolores (dans Beetlejuice Beetlejuice, de Tim Burton: NDR)! Se reconstruire et puis repartir, n’est-ce pas la condition humaine ? En tout cas, nous les femmes, on passe beaucoup par là, non ? »

Monica Bellucci Elle, 19 décembre 2024


Eephus, le dernier tour de piste, de Carson Lund

25 DÉCEMBRE

Les Cadeaux, de Raphaële Moussafir et Christophe Offenstein


« L’écriture rapide, ça empêche l’acteur de trop réfléchir et de s’abandonner dans une forme de pudeur qui pourrait couper les émotions et laisser le spectateur seul avec un sentiment de « c’est à vous de compléter ».

Vimala Pons, Libération, mardi 17 décembre 2024


Sonic 3, de Jeff Fowler

Ernest Cole, photographe, de Raoul Peck

18 DÉCEMBRE

2046, de Wong Kar-Wai (Reprise)


« Je trouve que Thomas Jolly a un talent fou, et qu’il a fait une extraordinaire cérémonie d’ouverture des J.O. Il a 42 ans. Il représente la créativité et le nouveau talent français qui, en plus, s’exporte. Je suis terriblement surpris de voir toujours des Cassandre qui passent leur temps à démolir pour démolir. On critique le tableau de Marie-Antoinette guillotinée à la Conciergerie : mais outre que c’était très beau, où était-elle emprisonnée avant d’être guillotinée ? Donc, quand on passe devant ce monument, on pense à quoi ? On pense au supplice de Marie-Antoinette. Cette cérémonie a mis en majesté les monuments de Paris. Nous avons été la fierté du monde ! On a besoin de ces artistes qui réinventent un peu le spectacle. je suis allée voir il y a quelques jours « Starmania », à Bruxelles, que Thomas Jolly a mis en scène, c’était formidable. »

Christian ClavierParis Match, 12 décembre 2024


Kraven the Hunter, de J.C. Chandor

Les Reines du drame, de Alexis Langlois

Mufasa, le roi lion, de Barry Jenkins

11 DÉCEMBRE

« Je ne suis pas du tout comme ça, une sale gosse, au quotidien. Au contraire, la conscience de l’autre est un principe fort chez moi. Après Connasse, il y a eu un malentendu, les gens ont pensé que j’étais réellement comme ça ! Heureusement, il y a eu Dix pour cent tout de suite après, et on a compris que j’étais juste une comédienne. Mais c’est vrai qu’on me colle encore souvent un peu abusivement l’étiquette de la fille au caractère bien trempé, frontale, sans filtre, un peu brute. »

Camille CottinMarie Claire, novembre 2024


Saint-Ex, de Pablo Agüero

Jamais sans mon psy, de Arnaud Lemort

Vingt dieux, de Louise Courvoisier

4 DÉCEMBRE

« Pour moi, les acteurs trop centrés sur eux ne sont pas vraiment acteurs. Notre métier est ancré dans la société, on représente des individus. Et quand on raconte une histoire inspirée de faits réels, on a une responsabilité dans le fait d’incarner ces hommes et ces femmes. Il y un danger à rester dans sa bulle de cinéma, à ne sortir qu’entre acteurs. La vraie vie est beaucoup plus intéressante. »

Diane Kruger – Elle, 28 novembre 2024


Wicked, de Jon M. Chu

Solo Leveling – ReAwakening, de Shunsuke Nakashige

Leurs enfants après eux, de Ludovic Boukherma, Zoran Boukherma


27 NOVEMBRE


« Vous savez cette révolution ne s’est jamais arrêtée. Il y a des gestes de résistance et de répression terribles au quotidien. Deux jours avant (l’arrestation d’Ahou Daryaei se mettant en sous-vêtement en Iran), j’ai vu passer la vidéo d’une femme qui battait un homme de la milice sur une moto. Elle le battait vous ne pouvez pas imaginer comment ! C’était impressionnant. Il y a des exemples comme ça tous les jours. Avait-hier, c’était une vidéo terrible : une élève de 16 ans qui s’est suicidée. Elle était en jean, elle a dansé, une des dirigeantes de l’école l’a harcelée. Elle est allée sur le toit et s’est jetée dans le vide. Quand j’entends des gens me dire que la révolution iranienne est à l’arrêt, à l’intérieur de moi je veux exploser, parce que vous ne pouvez pas imaginer ce que les femmes et les hommes vivent en Iran, le nombre d’exécutions… »

Golshifteh FarahaniElle, 14 novembre 2024


Heretic, de Scott Beck et Bryan Woods

Vaiana 2, de David G. Derrick Jr

20 NOVEMBRE


« Seules les failles sont intéressantes. Point ! Tous les acteurs que j’admire ont une fêlure dans l’œil : Javier Bardem, Patrick Dewaere, ce génie de Benoît Poelvoorde, ou mon ami Michel Blanc, que je rencontre sur Les Souvenirs, en 2014, et qui, dès son premier plan, me bouleverse avec un simple mot, « maman », prononcé dans l’embrasure d’une porte.« 

Jean-Paul Rouve, Télérama, 13 novembre 2024


La Plus Précieuse des marchandises, de Michel Hazanavicius

Prodigieuses, de Frédéric Potier

Direct action, de Guillaume Cailleau et Ben Russell

Piece By Piece, de Morgan Neville

13 NOVEMBRE


« Moi, je viens du monde du sketch, de l’improvisation, de la réaction en direct. Avec Claude, tout est permis, tout est possible. Il ne faut surtout pas s’étonner, se poser des questions. Il ne faut pas chercher à vouloir être beau. J’ai adoré travailler comme ça. J’aime bien qu’on me surprenne. »

Kad MeradParis Match, 7 novembre 2024


Here, de Robert Zemeckis

Une part manquante, de Guillaume Senez

Finalement, de Claude Lelouch

6 NOVEMBRE

The Substance, de Coralie Fargeat


« Je ne me pose pas la question dans j’écris. Je suis une femme qui parle de sexe. C’est mon point de vue, mon histoire avec de l’autodérision et des piques de temps en temps sur les mecs. Tout ça est bon enfant. Je trouve le public assez hétérogène. J’aime quand, dans un couple, les deux m’adorent. »

Bérengère KriefParis Match, 31 octobre 2024


Mylène Farmer – Nevermore- Le Film, de François Hanss

L’Ombre du commandant, de Daniela Völker

Louise Violet, de Eric Besnard


30 OCTOBRE

Juré 2, de Clint Eastwood

« Aujourd’hui, malheureusement, aimer qui on veut à un prix. Il y a encore des gens qui se font tabasser à cause de leur choix. L’art aide à comprendre que l’acceptation de soi n’est pas une banalité. J’ai l’impression que l’humain, en général, se réfugie dans une forme de peur et qu’il a besoin de trouver un ennemi. En même temps, quand le Rassemblement national est aux portes du pouvoir, la France se mobilise. Putain, ça fait du bien ! Ce retournement au dernier moment m’a beaucoup touché. Parce que, quand tu lis le programme du RN, on retourne à la France de Vichy.« 

Adèle ExarchopoulosParis Match, 24 octobre 2024


Sarah Bernhardt, la divine de Guillaume Nicloux

L’Art de rien, de Stefan Liberski

Venom : The Last Dance, de Kelly Marcel

23 OCTOBRE

« Pouvoir choisir les projets et les gens avec qui je veux travailler est un vrai luxe, j’en suis bien conscient. Mais je n’ai pas particulièrement envie d’une grosse prod américaine, même si j’aimerais tourner dans d’autres langues, anglais, espagnol ou italien, pour me perfectionner. À choisir, j’aimerais travailler avec les réalisateurs que j’admire comme Paul Thomas Anderson ou James Gray ».

François CivilLa Tribune dimanche, 13 octobre 2024

Transformers : le commencement, de Josh Cooley

The Killer, de John Woo

Challenger, de Varante Soudjian

16 OCTOBRE

« Un Lellouche, c’est déjà beaucoup, alors deux, c’est l’overdose, non ? La vérité est plus simple que ça : je prends énormément de plaisir à écrire. Et je ne me projette pas du tout dans le scénario. La conception d’un film, c’est déjà beaucoup d’énergie… Quand je m’y mets, j’y pense en permanence. H 24. Quand je dîner, quand je dors, quand je sors… Ma vie est dédiée à ce rêve-là et vous savez quoi ? Je ne me vois jamais dans les projets que j’imagine. C’est paradoxal parce que je pourrai jouer à peu près tous les personnages que j’ai écrits. Mais il y a quelque chose d’antinomique : je ne me vois pas dans mes propres fantasmes. Je ne suis pas passionné par moi-même. »

Gilles Lellouche, Première, octobre 2024


L’Amour ouf ! de Gilles Lellouche`

Sauvages, de Claude Barras

C’est le monde à l’envers, de Nicolas Vanier

9 OCTOBRE

Lee Miller, de Ellen Kuras


« Et Trump et sa famille là-dedans ? Ils sont originaires de mon quartier, mais ils étaient comme une version antinomique des New-Yorkais. Ils incarnaient la richesse indécente, immonde. Ils étaient racistes et misogynes, antisémites, alors même qu’ils vivaient dans une ville où toutes les communautés se côtoyaient, vivaient ensemble. Cette famille a détruit tout ce qu’elle a touché ! Tout. « 

James Gray Première, octobre 2024


Super/Man : The Christopher Reeve Story, de Ian Bonhôte, Peter Ettedgui

Il était une fois Michel Legrand, David Hertzog Dessites

Le Robot sauvage, de Chris Sanders

2 OCTOBRE

« Alors que l’on parle, deux institutions majeures sont en train de dépérir : le journalisme et le système des studios. Le cinéma tel qu’il a été, et pas simplement à Hollywood, aussi en Europe. Ces deux institutions inventées par l’homme sont en train de mourir, mais moi je crois que de nouvelles sont en train de naître. Il y a une abondance de talent dans le cinéma d’aujourd’hui, de gens formidables qui font des films. Il n’y a qu’à voir « Anora », le film de Sean Baker, lui qui avait pas le passé tourné un film entièrement à l’iPhone ! La vie humaine, c’est cet équilibre en constance évolution entre choses qui naissent et choses qui meurent. C’est ce qui est en train de se passer aujourd’hui aux États-Unis. »

Francis Ford CoppolaLibération, samedi 21 et dimanche 22 septembre 2024


Joker : folie à deux, de Todd Phillips

Maya, donne-moi un titre, de Michel Gondry

Un amor, de Isabel Coixet


25 SEPTEMBRE

Mégalopolis, de Francis Ford Coppola


« Au départ, j’ai compris que je décevais mes parents : rater le Conservatoire, une grande école nationale… Pourtant, je désirais jouer dès l’enfance, par mimétisme, en regardant avec mon père n’importe quel film à la télé. Le voir rire devant de Funès, Tati, Blake Edwards s’est imprimé en moi. J’ai toujours eu envie de faire rire, j’admire ceux qui font rire. Sur le tournage de Jeanne du Barry, de Maïwenn, où j’interprétais une fille du roi, j’étais plus impressionnée par Pierre Richard que par Johnny Depp. »

Suzanne de BaecqueTélérama, 18 septembre 2024


L’Heureuse Élue, de Frank Bellocq

Vivre, mourir, renaître de Gaël Morel

18 SEPTEMBRE

« Un p’tit truc en plus m’a permis de me rendre compte qu’en voulant faire du bien je pouvais être maladroit. Comme ne pas oser regarder dans les yeux une personne qui bave dans un fauteuil roulant, par peur qu’il pense que je la juge… Mais finalement, cette forme d’ignorance, qui se veut sympathique, avec un petit sourire en coin, est d’une violence inouïs pour ces personnes en situation de handicap 8 Aujourd’hui, je ne les regarde plus comme s’ils étaient plus fragiles que moi et je n’hésite plus à dire : « Attention, tu baves ! »

Clovis Cornillac La Tribune Dimanche, 8 septembre 2024


Les Barbares, de Julie Delpy

Wolf, de Jon Watts

Ni chaînes, ni maîtres, de De Simon Moutaïrou

11 SEPTEMBRE

« Je crois au contraire que c’est de venir d’un milieu pauvre qui m’a aidée à comprendre c’est qu’il fallait ne pas faire n’importe quoi. J’ai préféré investir sur la durée que de courir après l’argent – de toute façon, ça ne me manquait pas, parce qu’à la base, j’en avais pas ! Donc, je me suis dit : « Ça viendra petit à petit ». Je comprends que ça puisse être différent pour des acteurs plus vieux, qui ont une famille, mais moi je n’avais pas d’enfant, pas de gros besoins, il me fallait juste le minimum, payer le loyer et les courses – c’était avant l’inflation, hein, par cher comme maintenant ! J’avais une amie qui était contrôleuse à la SNCF. Du coup, je montais avec elle dans les Paris-Marseille, comme ça je ne payais pas. Et puis, j’étais sauvage, donc de toute façon, on n’allait pas m’appeler pour « Astérix », quoi ! »

Hafsia HerziSociety – août 2024


Beetlejuice Beetlejuice, de Tim Burton

Langue étrangère, de Claire Burger

Dahomey, de Mati Diop

4 SEPTEMBRE

« Avant même d’ouvrir le scénario, j’avais le sourire aux lèvres. « Zorro », la série produite par Disney, a bercé mon enfance. Je voyais très bien Jean Dujardin dans le rôle, j’étais ravie de jouer sa femme, mais j’étais persuadée que ce serait une « série de mecs », puisque les personnages féminins sont très secondaires. Quelle surprise à la lecture ! Je ne m’attendais pas à l’importance prise par Gabriella de la Vega, l’épouse de Don Diego. En plus d’être un drôle et engagé, le script est très féministe. »

Audrey Dana Paris Match, 29 août 2024


À son image, de Thierry de Peretti

À l’ancienne, de Hervé Mimran


28 AOÛT

Fêlés, de Christophe Duthuron


« Avec quatre saisons à vivre ici pour « Emily in Paris », j’ai bien exploré la vie parisienne ! Je teste plein de restaurants dans tous les arrondissements, et je suis tout le temps de sortie. Les gens sont surpris de me croiser ! Je me balade beaucoup, j’aime les antiquaires, aller aux puces de Clignancourt, dans les cafés, flâner du côté du canal Saint-Martin, passer du temps dans les librairies, en particulier chez Shakespeare and Company. Avec mon mari, on prenait des trottinettes avant qu’elles soient interdites, pour découvrir la ville, mais on aime aussi se promener avec notre chien au jardin de Tuileries. J’essaie de vivre comme les Parisiens, mais, si mon emploi du temps n’était pas aussi chargé, j’adorerais connaître aussi la campagne française.« 

Lily CollinsElle, 22 août 2024


La Belle Affaire, de Natja Brunckhorst

Toubib, de Antoine Page

21 AOÛT

« J’ai vu « Vice-Versa 2 » avec mon fils de 10ans. Le premier m’avait retournée, le second, qui parle de l’estime de soi, a touché en moi quelque chose de très fragile. C’est difficile d’avoir une bonne estime de soi. C’est fondateur pour les adolescents, c’est une clé pour apprendre à se tourner vers les autres.« 

Mélanie ThierryElle, 14 août 2024


The Crow, de Rupert Sanders

La Mélancolie, de Takuya Katô

Blink Twice, de Channing Tatum

14 AOÛT

« Vous imaginez à quel point ces sujets me bouleversent et m’inquiètent, mais on ne peut pas combattre le RN en disant simplement « c’est des fachos ». Il y a dans notre société une montée de la xénophobe et de l’antisémitisme nauséabonde et terrifiante, mais ce qu’ont dit aussi les gens à travers ces dernières élections c’est qu’ils sont en souffrance, qu’ils n’y croient plus, qu’on les a abandonnés, méprisés. Et là je retiens ma parole, car, effectivement, moi je m’en suis sortie. Je pense à cette phrase de Condorcet qui résonne particulièrement aujourd’hui : « Celui qui vote contre le droit d’un autre, quels que soient sa religion, sa couleur ou son sexe, a dès lors abjuré les siens. »

Emmanuelle BéartElle, 1er août 2024


Alien : Romulus, de Fede Alvarez

Project Silence, de Tae-gon Kim

7 AOÛT

Trap, de M. Night Shyamalan


« Je ne serais pas chef : j’adore les bonnes choses mais je cuisine mal. Peut être avoir un bar, ou un restaurant… Quant à la voiture, j’ai essayé, mais honnêtement, je n’ai pas le truc. Ces métiers du sport, c’est comme le cinéma, il faut avoir la passion. Et s’y donner entièrement. »

Victor Belmondo Vanity Fair, août 2024


Borderlands, de Eli Roth

Paddington 2, de Paul King


31 JUILLET

« Je ne regarde pas grand-chose, pour tout vous dire. (Rires). Je lis des livres, voilà ce que je fais vraiment. Je me suis fait parfois fait piéger en passant mes soirées à visionner des séries sur Netflix. Mais elles sont toutes conçues pour que les gens restent assis sur leur canapé sans rien faire. Elles sont lentes à dessein, afin que tu oublies de penser au monde réel et à la politique. C’est de la manipulation. Avant, c’était « du pain et des jeux », aujourd’hui, c’est le streaming. »

Terry Gilliam Première, juillet-août 2024

Garfield : héros malgré lui, de Mark Dindal

24 JUILLET

« La première fois que j’ai été confronté à une scène érotique, elle était assez hardcore. C’était écrit : « Machin et truc sont une boite de nuit. Point. » Sauf que dans la boîte, il y avait une femme nue. On était censé faire l’amour à trois. Personne ne m’a demandé si j’étais d’accord. Je regarde autour de moi, je cherche un peu de soutien, mais tout le monde attend que ça passe. Je n’accable pas l’équipe, je sais qu’ils ne s’en rendaient pas compte, il n’y avait aucune malveillance. Moi-même, je pensais être un imposteur, je me répétais : mais qu’est-ce que tu fais là si tu n’y vas pas ? Ce qu’il faut condamner, c’est une époque, avec ses mœurs, ne pas viser une personne. On a compris aujourd’hui que c’étaient des choses qui pouvaient heurter, traumatiser. Il faut discuter avec le metteur en scène de ses desiderata. Ensuite, à charge pour chaque actrice et acteur d’accepter ou pas. »

Roschdy ZemMarie-Claire, août 2024

Deadpool & Wolverine, de Shawn Levy

Goodbye Monster, de Jianming Huang

17 JUILLET


« Lorsqu’elle a commencé à militer, Greta Thunberg disait : « Nous, les jeunes, n’avons pas causé cela. Où sont les vieux ? » Alors, je lui ai répondu : « Moi, je suis là, prête à agir, chère Greta ! » Je veux que ces jeunes sachent qu’il existe une génération qui a fait tout ce qu’elle pouvait pour empêcher l’effondrement du futur. Honnêtement, je ne perçois aucune différence entre les millenials, et moi-même. Alors que je ne peux pas en dire autant avec les hommes blancs de mon âge…« 

Jane FondaParis Match, 11 juillet 2024

Twisters, de Lee Isaac Chung

Monolith, de Matthew Vesely

Presque légal,, de Max Mauroux


10 JUILLET


« Non, le succès du film n’a pas été une revanche, mais j’espère qu’il va permettre de changer un peu les mentalités. La comédie aurait été financée sans problème avec des acteurs valides. J’espère que les gens vont prendre conscience qu’il faut casser les codes, être original. Je reçois beaucoup de scénarios : des pas bien qui sont souvent financées et des géniaux mais pas financés. On a peut-être prouvé que si on arrête de servir de la merde aux gens, ils vont au cinéma. »

ArtusLe Parisien, jeudi 4 juillet 2024


Moi, Moche et Méchant 4, de Chris Renaud, Patrick Delage

To The Moon,, de Greg Berlanti

3 JUILLET


« Jax synthétise à elle seule une vaste période de ma vie. Elle a les mêmes croyantes, prodigue les mêmes enseignements, a recours aux mêmes médecines ancestrales que les membres de la communauté à laquelle j’ai vécu enfant, dans le Montana. Mes parents l’avaient intégrée avant que je vienne au monde : ils souhaitaient que j’y naisse et que j’y sois élevée. Pour ce rôle, je me suis inspirée aussi d’un de mes cousins proches avec qui j’ai grandi. Je lui ai emprunté la démarche et l’attitude que Jax arbore… »

Lily Gladstone Paris Match, 26 juin (à propos de Fancy Dance, diffusé sur Apple TV+)


Horizon : une saga américaine Chapitre 1, de Kevin Costner

Les Fantômes, de Jonathan Millet

Pompo The Cinephile, de Takayuki Hirao