BANDES-ANNONCES 2025

Mercredi 27 août 2025


« Dans Aberdeen, de Hans Petter Moland (2000), que j’aime beaucoup et où j’incarnais un père alcoolique, j’ai joué une centaine de variantes d’un homme ivre ! C’était comme cartographier le territoire de l’ébriété. J’ai beaucoup bu à une époque. Je bois moins. Ma première femme, médecin, soigne des alcooliques et l’un de mes fils est devenu abstème. »

Stellan Skarsgård Télérama, 20 août 2025


The Roses, de Jay Roach

Caught Stealing, de Darren Aronofsky

Slow, de Marija Kavtaradze

Mercredi 20 août 2025

Alpha de Julia Ducournau


« Je ne peux pas dire que j’adore être seule. Partir seule, c’est difficile à assumer quand on a des enfants, on ressent quand même une petite culpabilité… J’écris, mais je suis aussi très dissipée, je joue avec mon chien, je me réfugie dans la cuisine pour tester des recettes, je ne sais pas quand me coucher… Je ne sais rien faire seule en fait ! J’adore être en famille, c’est le cadre idéal des vacances. »

Charlotte Gainsbourg, Marie Claire, septembre 2025


Les Orphelins, de Olivier Schneider

Mercredi 13 août 2025

« On m’a exercé aux bases du métier de cascadeur : donner des coups, les recevoir, tomber… Un mélange d’arts martiaux car l’important, c’était que ce soit crédible. Une fille de ma corpulence face à une armoire à glace, il faut une économie de mouvements, que ce soit très rapide et létal. j’ai aussi manié des armes à feu, piloté une moto(…) Ça m’a donné une envie plus profonde de participer à d’autres projets comme celui-là. »

Marina VacthLe Parisien, 6 août 2025


Karaté Kid : Legends de Jonathan Entwistle

Sally Bauer à contre-courant, de Frida Kempff

Mercredi 6 août 2025


« Vous pouvez me mettre sur un rocher, je saute sans même me poser une fois la question de comment je vais atterrir. Pour les gens comme moi qui n’ont peur de rien, le défi consiste précisément à ne pas sauter. La chose que j’ai le plus envie de faire c’est de ne rien faire parce que c’est la seule chose que je n’ai jamais faite… S’asseoir, laisser venir les « monstres » et les affronter.« 

Golshifteh Farahani Marie Claire, septembre 2025


Weapons, de Zach Cregger

Y a pas de réseau, de Edouard Pluvieux


Mercredi 30 juillet 2025

Together, de Michael Shanks (I)

Les Bad Guys 2, de Pierre Perifel, Juan Pablo Sans


« (Son rapport à l’argent ? NDLR) C’est rassurant, je n’ai aucun complexe à en gagner, c’est un atout masculin. Mes parents en manquaient, mais nous avions la culture, l’esprit d’aventure et la fantaisie. »

Zita Hanrot Libération, 22 juillet 2025


Dracula, de Luc Besson

Mercredi 23 juillet 2025


« Je ne suis pas de ceux qui pensent que le cinéma peut changer le monde. C’est un art puissant, susceptible d’apporter du réconfort, voire d’éveiller certains sentiments, mais le cinéma indépendant doit s’organiser pour être en mesure de concurrencer Internet. Il est contraint de faire événement pour attirer l’attention. En tant que cinéaste indépendant porté par un studio, je me sens très privilégié. Mes films ont un budget moyen, ce qui n’existe quasiment plus aux États-Unis : soit vous faites du cinéma avec 3 sous, soit avec des budgets colossaux de 150 millions de dollars et plus. J’ai la chance de pouvoir réaliser des films personnels, sans trop de compromis avec l’industrie. Alors que l’on se dirige vers la catastrophe, créer semble à la fois plus frivole et plus nécessaire que jamais. »

Ari Aster Télérama, 16 juillet 2025


Les 4 Fantastiques : Premiers pas, de Matt Shakman

Comme des riches, de Amin Harfouch

Aux jours qui viennent, de Nathalie Najem

Sorry, Baby de Eva Victor

Mercredi 16 juillet

Eddington, de Ari Aster


« Je suis une enfant des centres aérés. Plus tard, j’ai passé le Bafa (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur , ndr) pour faire ma part aussi. Je pouvais être autoritaire, mais j’avais vraiment un rôle de grande sœur, c’est ce que je voulais donner aux adolescents. Je les écoutais et les couvrais beaucoup. Je suis encore très proche d’un bon nombre d’entre eux, qui me disant que j’ai été leur meilleure animatrice, ça fait plaisir ! Aujourd’hui, je retrouve le goût du collectif sur les plateaux. Un tournage, c’est comme une grande colonie de vacances, s’il manque un chaînon, ça ne marche plus, c’est ça qui est trop beau. »

Lyna KhoudriMarie-Claire, août 2025


Certains l’aiment chauve, de Camille Delamarre

Les Filles du désir, de Prïncia Car

Mercredi 9 juillet

« N’étant pas homosexuelle, j’ai préparé le rôle comme si j’allais l’interpréter : j’ai enquêté. Je suis allée dans les soirées lesbiennes, dans tous les lieux où se rend l’héroïne, j’ai parlé avec beaucoup de jeunes femmes, je voulais savoir comment ça se passait, les rencontres et les choses plus personnelles… L’accueil de la communauté a été super cool, les gens étaient contents qu’on mette en lumière ce personnage. »

Hafsia Herzi Elle, 3 juillet 2025 ( à propos de son film, La Petite Dernière qui sort le 25 octobre prochain)


Superman, de James Gunn

Marius et les gardiens de la cîté phocéenne, de Tony Datis

Pusher, de Nicolas Winding Refn

Mercredi 2 juillet


« Depuis le premier film, quelque chose a changé : face à un danger ou une catastrophe naturelle, les gens se mettent à filmer. J’ai été frappé par toutes ces vidéos du tsunami de 2006 que les gens ont tournées au lieu de courir se réfugier sur une colline. Je crois qu’on tournera des vidéos de l’apocalypse sur nos téléphones ! Leurs images ont quelque chose de viscéral, et ils permettent de filmer avec légèreté de l’action de qualité cinéma. »

Danny Boyle, Télérama, 18 juin 2025


Jurassic World : Renaissance, de Gareth Edwards

Materialists, de Celine Song

L’Accident, de Quentin Dupieux

Mercredi 25 juin


« Pourquoi Avengers : Endgame n’a-t-il pas été nommé aux Oscars dans la catégorie Meilleur film ? C’était un pari impossible, ça n’aurait pas dû fonctionner, et pourtant le film a marché à merveille. Et de plus, c’est l’un des plus gros succès de tous les temps. »

Scarlett JohanssonVanity Fair, juin-juillet 2O25


F1 , de Joseph Kosinski

Le Grand déplacement, de Jean-Pascal Zadi

Mercredi 18 juin

« (…) la notoriété me permet de vivre des expériences qui me plaisent comme celle que je vis actuellement (une exposition de ses photos, « Superfacial » : DNLR). J’ai su apprivoiser ce que je suis devenue. Aussi l’engouement qu’il y a eu autour de ma personne a diminué. Il s’est normalisé. J’ai retrouvé ma liberté et une vie plus ordinaire. Je peux prendre de nouveau le métro sans être trop importunée. Il y a vingt ans, je cherchais à me cacher. »

Audrey Tautou Paris Match, 12 juin 2025


28 ans plus tard, de Danny Boyle

Avignon, Johann Dionnet

Mercredi 11 juin


« Ce n’est pas la même chose de s’entraîner dans un gymnase avec des blocs et des matelas que de tourner la scène dans le décor avec tous les accessoires. Donc les chorégraphies devaient être établies le jour même. Parce qu’il fallait voir si ce qu’on m’avait répété s’adaptait bel et bien au décor, et si on avait de nouvelles idées en voyant un accessoire ou un meuble. Par exemple, un verre d’eau : la Ballerina se bat avec tout ce qui lui tombe sous la main. »

Ana de Armas Première, juin 2025


Dragons, de Dean DeBlois

Sister Midnight, de Karan Kandhari

Les mots qu’elles eurent un jour, de Raphael Pilloso

Mercredi 4 juin


« Depuis quinze ans, je n’avais pas eu la possibilité d’assister à la projection d’un de mes films.Ça m’était interdit, et j’ai été bouleversé par l’expérience, je pouvais enfin guetter chaque rire, chaque pleur…. Bien sûr, mes films sont vus en Iran. Ils circulent sur la Toile, les gens m’en parlent, mais ça n’a rien à voir, ils ont eu le temps d’y réfléchir, or le cinéma, c’est l’instant de la projection. »

Jafar Panahi (après sa Palme d’or) – Télérama, 28 mai 2025


Ballerina, de Len Wiseman

Le Répondeur, de Fabienne Godet

Fragments d’un parcours amoureux de Chloé Barreau

Mercredi 28 mai


« J’ai fait des analyses et j’y crois, bien sûr. Pour décoder le monde, le féminisme, le socialisme, la religion, examiner le cinéma, la littérature, c’est un prisme tellement riche… Mais freudien, jamais fait. C’est très déplacé chez nous, parce qu’il est un peu « cancelled » – vous savez misogyne, raciste xénophobe… Pendant nos recherches avec Rebecca (Zlotowski pour Vie privée, présenté hors compétition : NDLR), on a rencontré plusieurs psychanalystes, et fini par se dire que ça n’allait pas nous aider, la relation avec le patient est de trop longue durée. »

Jodie FosterLibération, jeudi 22 mai 2025


Else, de Thibault Emin

Hot Milk, de Rebecca Lenkiewicz

Mercredi 21 mai


« Pour moi, c’était une sacrée responsabilité d’être de toutes les scènes (de Partir un jour) . J’avais peur de ne pas réussir à relever le défi technique qui consiste à se déplacer tout en jouant bien et en chantant juste. Parfois, je paniquais un peu, et Bastien (Bouillon) était là, patient, encourageant et disponible. »

Juliette Armanet Télérama, 14 mai 2025


Lilo & Stich, de Dean Fleischer-Camp

Mission impossible : The Final Reckoning, de Christopher McQuarrie

Mercredi 14 mai

« Mener (le jury du Festival de Cannes : NDLR) n’est pas le bon terme, car, dans un jury, c’est la synergie du groupe qui compte. Je veux donner à chacun l’impression d’être à sa place, et j’ai hâte d’écouter chaque sensibilité. Si j’ai un désir, c’est celui que nous regardions vraiment tous les films ensemble pour y réagir à chaud, dans un premier temps, avant de revenir sur nos émotions les jours suivants. Dans tous les cas, l’exercice de la rencontre – avec chaque membre du jury, et avec les œuvres évidemment – est enivrant. »

Juliette Binoche, Télérama, 7 mai 2025


Destination Finale Bloodlines, de Zach Lipovsky, Adam B. Stein

Hurry Up Tomorrow, de Trey Edward Shults

Mercredi 7 mai


« Ma fille la plus jeune a 9 ans et j’ai le sentiment de devoir rester auprès de mes enfants autant que je peux. Mon rôle le plus important, actuellement, c’est d’être mère. Il faudrait quelque chose de très spécial pour me faire revenir au cinéma. »

Eva Mendes Elle, 30 avril 2025


Les Maudites, de Pedro Martín-Calero

Anges & Cie, de Vladimir Rodionov

Soudan, souviens-toi, de Hind Meddeb


Mercredi 30 avril

« Avec Axel Lutz, nous avons en commun une certaine mélancolie. Depuis que je suis toute petite, j’ai conscience de ma finitude… Alors, il faut rigoler, et en même temps, ce n’est pas forcément marrant de se demander qui on choisira pour être maquillée dans son cercueil. »

Laura Phelpin Télérama, 23 avril 2025


Les Règles de l’art, de Dominique Baumard

Les Linceuls, de David Cronenberg

Small Things Like These, de Tim Mielants

Mercredi 23 avril 2025


« Au cinéma, j’ai eu la chance, depuis quelques années, d’avoir des rôles comme celui de Pupille, de Jeanne Herry, qui a été un commencement. J’aime avoir de l’humanité à travailler, à sculpter ; l’empathie m’intéresse. Les rôles qu’on m’a offert ces dernières années m’ont touchée, cela me plaît de montrer des parcours. Le cinéma permet de poser un regard sur une personne, une situation, et de pouvoir ouvrir son cœur et son regard. C’est pour ça que le film L’Histoire de Souleymane, sur la vie d’un sans-papiers en France est si important. Le cinéma a cette faculté-là, d’élargir sa vision et son rapport au monde. »

Élodie Bouchez – Marie-Claire, avril 2025


Drop-Game, de Christopher Landon

Until-Dawn : la mort sans fin, de David F. Sandberg

Mercredi 16 avril


« Je ne pense pas être spécial et encore moins surdoué. J’ai eu de la chance, voilà tout. Mais je n’ai jamais perdu de vue que les budgets qu’on m’offrait étaient fous, et que je travaille avant tout pour le public. Pour ces gens qui payent leur billet, font le déplacement jusqu’à une salle obscure et attendent de voir quelque chose qui vaille leur investissement et leur temps. C’est un contrat invisible mais dont je suis pleinement conscient quand je mets le pied sur un plateau. Et c’est pareil pour toutes mes équipes. »

Ryan Coogler Première, avril 2025


Sinners, de Ryan Coogler

Le Mélange des genres, de Michel Leclerc

Rapide, de Morgan S. Dalibert

Mercredi 9 avril

« La Palestine est en moi. C’est impossible de m’en détacher. Et je crois que tant que ce conflit perdure, tant qu’aucune solution n’est offerte à mon peuple, je ne pourrai jamais, ne serait-ce qu’un instant, oublier la Palestine. C’est mon histoire, mon passé, mon héritage. J’ai une attache et un attachement au combat de mon peuple depuis la nuit des temps, je ne l’oublie pas et mon travail le prouve; et à la fois, aujourd’hui, je suis aussi française et européenne. Je ne peux pas vivre en France et en Europe en laissant mon côté palestinien prendre le dessus sur tout. Les trois constituent mon identité et ils vont ensemble : tout est lié. Toute ma lecture et ma compréhension de la vie fonctionnent avec ce trio. »

Hiam Abbass Libération, vendredi 4 avril 2025


The Amateur, de James Hawes

Zion, de Nelson Foix

Piégé, de David Yarovesky

Mercredi 2 avril

Minecraft, le film, de Jared Hess


« À chaque fois que je commence à tourner, je ne réfléchis plus, je suis investie par mon personnage, habitée. Mon mec me dit parfois que je ramène tous mes personnages à la maison, avec leur joie, leur tristesse. J’ai besoin de devenir quelqu’un d’autre pour me trouver moi-même. »

Camille Lou, Elle, 27 mars 2025


Natacha (presque) hôtesse de l’air, de Noémie Saglio

Au pays de nos frères, de Raha Amirfazli, Alireza Ghasemi