Un métro qui manque de punch

A l’arrivée, et malgré les efforts d’Eric Serra compositeur de la musique originale efficace, ce polar tourne court et l’on s’ennuie ferme, malgré une belle brochette de seconds rôles: de Jean-Luc Anglade sur ses rollers à Jean Bouisse, le complice des débuts ou Richard Bohringer et ses œillets. En fait, les deux qui tirent vraiment leur épingle du jeu sont Michel Galabru, qui ne cabotine pas un brin, et Jean-Pierre Bacri encore juvénile. À signaler le travail d’Alexandre Trauner qui lui valut un des trois César récompensant le film en 1996.

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