L’errance sans fin…

Les séquences s’alignent, paresseuses, et parfois elles sont interminables, ainsi celles du karaoké en forme d’un « bla-bla » qui aurait été vitaminé si un Philippe Katerine avait été à la manœuvre. Et alors même que l’on croyait le film terminé avec une série de plans courts et rythmés sur un Paris qui s’éveille, le récit reprend un peu du poil de la bête. Mais, finalement, tout ça est vraiment long et ne semble pas vraiment une « nuit de dingue ».

Une déception car l’idée de cette expédition nocturne évoquant les nouvelles relations amoureuses, dans laquelle le son et la musique tiennent une place non négligeable, aurait pu donner lieu à un récit autrement plus surprenant. Et qui renverse vraiment les conventions de la classique comédie romantique.

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