Sous le soleil de Monaco

En fait, ce drame montre bien la solitude profonde de ces deux paumés dans ce décor de carte postale aussi aseptisé qu’un hôpital de luxe t. Une vie qui semble illustrer à merveille la vieille maxime de l’argent qui ne fait pas le bonheur… Ni préserve de la décrépitude de la vieillesse.

Si le film ne tient pas toutes les promesses du début, n’évite pas certaines longueurs et se répète parfois dans les errances d’Afine, il dépeint bien un quotidien (et un futur) en forme d’Apocalypse, entre béton et mer.

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