Du côté d’Aliona Baranova, et de son Marin et la Feuille, il suffit d’un bout de feuille d’automne pour qu’un marin au long cours mesure qu’il n’a pas mis sac à terre depuis des lustres.
Passant d’un univers jouant sur les bleus (assez attendu pour un conte de mer), comme dans le très joli Le Saut du Pingouin, à des mondes plus colorés (Le Marin et la Feuille), cette série de courts métrages prolongent l’été et les séjours à la plage, avec cette plongée tonique dans l’océan et des récits qui, l’air de rien, expriment aussi une inquiétude face à un univers imprégné de la vie de l’homme.
