Une nuit qui serait la dernière

Le tout dans un climat qui, d’emblée, semble étrange : de fait, Françoise, qui semble déjà libre et émancipée, se promène avec un pendule, a des intuitions… « Françoise est comme poussée par une pulsion de mort, mais qui est en fait une pulsion de vie, qui témoigne de son désir profond de vivre des choses et de sortir d’un endroit où elle se sent enfermée pour explorer le monde », souligne Romain de Saint-Blanquat. Et elle est entouré de personnages qui accentuent une atmosphère inquiétante, tel le conducteur qui les prend en stop, campé par Fred Blin.

Là où le film nous perd un peu, c’est durant la deuxième partie et cette nuit dans une maison qui semble hantée. De fait, l’histoire semble patiner, les incidents manquent de relief et on finit alors par trouver le temps long, malgré de nombreux clins d’œil au film du genre.

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