Une comédie en roue libre

Incarnation d’une époque révolue – avec la séquence surréaliste de la GPA d’un nouveau genre sur la péniche pilotée par un couple d’homosexuelles – Vincent est une espèce de paumé sympathique à la nonchalance qui ne dépareillerait pas chez Jacques Tati. Et Alexandre Lafaurie le campe avec décontraction et conviction.

Si l’histoire offre quelques moments d’une tendre poésie, il manque à l’ensemble une vraie ossature pour que le film décolle vraiment et que l’histoire ne finisse pas à tourner en rond et à pédaler dans une monotonie certaine.

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