Pour autant, et même si Austin Butler a beaucoup travaillé selon ses dires – grosso modo, c’est le propre de tout salarié – si, au long des interviews, il évoque des signes prémonitoires -par exemple le jour où, en voiture, il s’est mis à chanter Christmas Blues, le tube d’Elvis, la crise « existentielle » de fin de tournage, on se dit qu’Hollywood est bien en panne d’inspiration pour miser sur ce type de « produit » et sur les variations de la marque Marvel pour relancer la machine à rêver cinématographique. Il y a peut-être encore des scénaristes qui ont de l’imagination pour pondre quelques histoires originales et vraiment surprenantes, non ? Il faut « juste » prendre le temps de les trouver.