Albert Dupontel, cinéaste social

Et puis, il y a un rythme « dupontelien », ce tempo frénétique qui fut déjà celui de ses prestations scéniques en one-man-show. De fait, il y a eu en effet 2500 plans en 1h20 de film pour 850 tournés en 10 semaines. Un sacré défi pour créer un monde déjanté qui doit beaucoup à l’univers des Monty Python, dont deux membres, Terry Gilliam et Terry Jones sont de la partie. Bref, un Dupontel déjà « classique » et dans lequel figure sa muse – Claude Perron – et son vieux compagnon de route, Nicolas Marié.

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