Annulé en 2020, le festival Cinélatino de Toulouse s’est adapté à la crise sanitaire pour sa 33ème édition. Il se déroulera en deux temps. Premier temps : du vendredi 19 au dimanche 28 mars. Zoom sur la programmation.
Cette année, le festival Cinélatino suit un peu le modèle berlinois. D’abord en ligne, jusqu’au 28 mars avec plus d’une centaine de films à visionner en ligne, les compétitions, des rencontres…, il connaîtra, si l’état sanitaire le permet, une suite du mercredi 9 au dimanche 13 juin sur place. Aura lieu alors un long week-end festif avec des invités sud-américains, des apéros concerts…
Pour la soirée d’ouverture, la satire sera à l’honneur avec la projection de Heroic Losers, de Sebastián Borensztein avec Ricardo Darin. Le pitch ? Dans une petite ville non loin de Buenos Aires, rien ne va plus. Après la crise économique de 2001, un petit groupe de personnes rassemble l’argent pour acheter des silos abandonnés, mais rien ne se passe comme prévu.
Outre les films primés en mars, la manifestation de juin doit permettre d’offrir deux hommages à deux invités d’honneur. D’abord l’acteur familier de Pablo Larrain, Alfredo Castro. Ensuite la documentariste brésilienne Maria Augusta Ramos.
La Compétition
Longs-métrages de fiction
50 ballenas o dos se encuentran en la playa (Mexique) de Jorge Cuchi, avec José Antonio Toledano et Karla Rodriguez.
El alma quiere volar (Colombie) de Diana Montenegro, avec Laura Castro Artuz et Lilia Cordoba.
Aurora (Costa Rica) de Paz Fabrega, avec Rebeca Woodbridge et Raquel Villalobos.
Casa de antiguidades (Brésil) de João Paulo Miranda Maria, avec Antonio Pitanga et Ana Flavia Cavalcanti.
La chica nueva (Argentine) de Micaela Gonzalo.
Desterro (Brésil) de Maria Clara Escobar, avec Carla Kinzo et Otto Jr.
Fauna (Mexique) de Nicolas Pereda, avec Lazaro Gabino Rodriguez et Luisa Pardo.
Karnawal (Argentine) de Juan Pablo Félix, avec Martin Lopez Lacci et Alfredo Castro.
Nouvel ordre(Mexique) de Michel Franco, avec Naian Gonzalez Norvind et Diego Boneta.
Tengo miedo torero (Chili) de Rodrigo Sepulveda, avec Alfred Castro et Leonardo Ortizgris
Uzi (Mexique) de José Luis Valle, avec Camila Calonico et Adrian Espinoza
La ciudad de las fieras (Colombie) de Henry Eduardo Rincon Orozco, avec Bryan Cordoba et Oscar Atehortua
Les documentaires
#Eagoraoque (Brésil) de Jean-Claude Bernardet et Rubens Rewald
Apenas el sol (Paraguay) de Arami Ullon
El cielo esta rojo (Chili) de Francina Carbonell
Depois da primavera (Brésil) de Isabel Joffily et Pedro Rossi
La sangre en el ojo (Argentine) de Toia Bonino
Transeunte (Argentine) de Pablo Pintor
Un cuerpo estallo en mil pedazos (Argentine) de Martin Sappia.
TRAVELLINGUE 