Rescapé des festivals de l’été,  le Festival PHARE courts métrages Arles déroule sa 5ème édition du 28 au 31 juillet avec une programmation toujours originale et décalée.

Dans le cadre magnifique du Théâtre antique d’Arles – les Romains ne savaient pas en le construisant que celui-ci permettrait à des manifestions culturelles de perdurer malgré la crise sanitaire –  le Festival PHARE courts métrages Arles offrira un coup de projecteur sur une trentaine de films originaux, poétiques.

Ainsi la soirée d’ouverture se situe sous le signe des « Courts en musique » : les spectateurs y suivront des films musicaux rythmés et chaloupés. Une « Nuit de l’animation » va rassembler les acteurs du cinéma numérique arlésien : que ce soit l’école de cinéma d’animation MoPA, les sociétés de production et de distribution : Tu Nous ZA Pas Vus et Miyu qui seront réunis  autour de projections de films d’animation pour les découvrir et en débattre.

Outre une soirée dédiée à la nature au cinéma – « L’Appel de la nature ! »- le festival  se terminera par une autre soirée célébrant les courts métrages du réalisateur Emmanuel Mouret (ci-contre)  -venu « en voisin » car il est né à Marseille en 1970 – et dont le nouveau film, Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait, très subtile histoire sur les relations amoureuses, sortira le 16 septembre prochain.

A signaler enfin le ciné-concert de Nicolas Cante, féru de musique électronique, autour de Le Petit Fugitif, un film qui inspira Les 400 Coups, de François Truffaut. Une programmation qui donne envie de sortir même masqué…

Et pour découvrir l’univers de Nicolas Cante…

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