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THE WHITE QUEEN, Mini-série  créée par Philippa Gregory — 10 x 60 mn

Avec Max Irons (Edouard IV), Rebecca Ferguson (Elizabeth Woodville), Amanda Hale (Lady Margaret Beaufort), Faye Marsay (Anne Neville), Janet McTeer (Jacquetta Woodville)et James Frain (Lord Warwick)

Diffusion sur OCS Max, à partir du mardi 11 février 2014 à 20h40

3 sur 4

L’histoire ?

1464. l’Angleterre est en guerre depuis neuf ans. Deux familles, les York et les Lancaster, s’opposent violemment pour s’emparer du trône. Entre manigances, déceptions et trahisons, trois femmes – Elizabeth Woodville, Margaret Beaufort et Anne Neville – vont avoir un rôle déterminant dans l’Histoire. Chacune va défendre à sa façon sa cause et celle des êtres aimés.

Et alors ?

Même si la BBC a annoncé en août dernier qu’il n’y aurait pas de nouvelle saison, alors que les audiences étaient bonnes,  cette série mérite le détour. Et la chaîne est en train de développer une nouvelle mini-série, toujours inspirée des romans de Philippa Gregory, The White Princess.

Il est vrai, il faut connaître un brin l’histoire d’Angleterre pour ne pas être perdu dans cette histoire de rivalités et de luttes mais le récit est mené de belle main et joué de manière parfaite par un casting royal. Ainsi, Max Irons, le fils de Jéremy of course, campe le roi Edouard IV qui doit savoir composer pour se maintenir sur le trône malgré toutes les tensions qui traversent sa vie. Il y a aussi Rebecca Ferguson dans la peau d’Elizabeth Woodville, réputée être la plus belle des reines d’Angleterre, ou encore Amanda Hale qui joue Margaret Beaufort. Une femme qui se bat pour obtenir  la rédemption de l’âme de son père décédé, et de ce fait changer le destin des Lancastre.

Dès le début des aventures, le téléspectateur est embarqué dans une histoire de rivalités sur fond de guerre et de passions amoureuses. Tournée en Belgique -dans la région de Bruges- cette mini-série a nécessité quelques 250 décors. Notamment le palais de Westminster a été reconstruit ! Quant au  château fort d’Écaussinnes-Lalaing, il  représente la demeure de Henry Stafford.

Une adaptation réussie des romans de Philippa Gregory dont l’imagination très riche a inspiré bien des aventures historiques. Et qui conclue : « C’est autant un drame psychologique qu’une histoire
politique, avec, en son coeur, l’histoire d’une passion amoureuse. »