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ROSY, de Marine Barnérias –

Documentaire – 1h26

-Diffusion sur Canal+ Cinéma, vendredi 29 juillet à 21h00 –

Mon avis : 3 sur 5

Le pitch ?

Marine, jeune étudiante de 21 ans, apprend qu’elle est atteinte d’une sclérose en plaques, une maladie auto-immune incurable. Le choc de l’annonce, l’urgence de la situation et le besoin de prendre une décision quant au traitement à suivre, la poussent à trouver une solution en elle… Elle décide de partir pour un long voyage initiatique dans trois pays : la Nouvelle-Zélande pour redécouvrir son corps, la Birmanie pour apaiser son esprit et la Mongolie pour renouer avec son âme. À travers des expériences inoubliables, Marine part à la rencontre d’elle-même et d’un nouvel équilibre avec cette sclérose qu’elle surnomme Rosy.

Ce qui touche dans le film ?

Indéniablement, il faudrait être aveugle et sourd pour ne pas tomber sous le charme de cette jeune nana qui fait face à la maladie avec un courage insensé. Au cours de ce voyages en forme de thérapie, elle découvre comment, intérieurement, faire face à cette sale maladie auto-immune qui a peu de chance de lui ménager une vie douce. Sa résilience a de quoi donner la pêche à n’importe qui. Son humour aussi quand elle se montre sans fard au cœur des steppes de Mongolie. À cet égard, Rosy est une vraie leçon de vie.