Désir et désordres

Là où les deux premiers volets parvenaient à trouver une vitesse de croisière, par l’originalité des situations, des personnages, Désir manque un peu le coche et se réduit à un bavardage de bon aloi, même si certaines scènes, comme le bain dans la rivière, sont intéressantes dans leur propos et par la démonstration d’amitié masculine liant les deux copains de travail.

Si, sur le papier, vouloir s’attaquer aux préceptes moralisateurs qui touchent à certains pratiques sexuelles est louable, la mise en images tirent en longueur et, malgré la très réussie séquences finales de spectacle, on finit par s’ennuyer ferme au fil de cette histoire qui ronronne un brin.

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