En parallèle de ses activités cinématographiques, Caleb Landry Jones est aussi musicien et, durant la pandémie, il a publié un disque de rock qui évoque l’univers des Beatles, The Mother Stone. Pour les besoins du tournage, il a posé son sac en Australie et a mesure à quel point ce fait divers avait marqué les esprits dans le pays. Dans les colonnes du Journal du dimanche, il souligne : « Mon personnage, qui a subi toutes sortes de maltraitances et souffre d’un léger handicap mental, est désœuvré, frustré et isolé. Sa vulnérabilité s’est transformée en dangerosité. »
Après un tel rôle, l’acteur risque de ne plus être cantonné aux seconds rôles…
