Ce n’est sans doute pas le volet le plus palpitant, et si Daniel Alfredson n’est pas un nouvel Hitchcock, ce volet est d’une facture honnête et le suspense tient le coup jusqu’au terme de cette machination avec un bon rebondissement dans le dernière partie de l’histoire.
Même si les acteurs principaux assurent avec professionnalisme leur partition, le réalisateur aurait pu sans doute creuser un peu plus leur psychologie pour densifier son histoire : la compagnie des chiens n’est pas le seul élément pour rendre plus complexe le scénario… Quant à la réalisation, sans être bouleversante, elle est efficace.
